Intervention
“J’ai découvert une Madonna d’une impressionnante solidité, dévouée à ses enfants et au bien-être de milliers d’orphelins laissés pour compte au Malawi.”
Sonia Ehrlich Sachs, docteur et diplômée en santé publique, dans une interview exclusive pour le Huffington Post, évoquant comment elle a été amenée à connaitre un peu Madonna au travers de son travail et comment elle a personnellement été témoin à plusieurs reprises de sa compassion et de son instinct maternel.
Sonia (qui est marié à un brillant leader d’opinion et citoyen du monde, le professeur Jeffry Sachs, directeur de l’Institut de la Terre, et conseillé spécial auprès du secrétaire général de L’O.N.U. chargé des Objectifs de Développement du Millénaire) est une spécialiste de santé publique et travaille en tant que coordinatrice de santé pour le Projet de Villages du Millénaire à l’Institut de la Terre à l’université de Columbia.
Sonia est la pédiatre qui était au côté de Madonna quand la chanteuse a rencontré David Banda alors âgé d’un an et dans l’interview, elle explique que le soir où David a quitté l’orphelinat pour passer sa première nuit auprès de Madonna dans un hôtel à Lilongwe, il était très malade et aurait pu mourir.Sonia attribue simplement à Madonna le mérite d’avoir sauvée la vie de David.
“David aurait pu mourir ce soir là ou le lendemain si Madonna n’avait pas été là .Je peux vous affirmer avec certitude qu’il serait mort s’il était resté dans cette orphelinat,” confie Sonia.
“Le soir où l’on a confié David à Madonna, il avait une forte fièvre et était dans une détresse respiratoire sévère – ce qui signifie qu’il avait des difficultés à respirer.”
“Nous l’avons emmener dans une clinique privée, où avec un collègue, nous l’avons examiné attentivement, nous lui avons fait une radio du thorax et nous avons diagnostiqué une infection respiratoire.Nous l’avons traité immédiatement avec un inhalateur et des antibiotiques intramusculaires.Des infections respiratoires comme la pneumonie sont des cause fréquentes de mortalité chez de nombreux enfants tous les ans en Afrique.”
L’intégralité de l’interview est disponible en ligne sur le site de l’ Huffington Post.
Merci à BabyGeorge.